Voici comment le président Togolais dépense l'argent
Cet article vous montre le côté obscure du président togolais
voici comme le président du Togo Faure Gnassingbé dépense l'argent du peuple.
bienvenue dans cette nouvelle vidéo,
Dans cet entretien choc, un témoin connus du public dresse un portrait accablant du président togolais Faure Gnassingbé, accusé d’abuser de son pouvoir pour entretenir des relations intimes avec de nombreuses femmes. Prédation sexuelle, manipulations affectives, corruption par l’argent liquide, tensions familiales et morts suspectes... Ce récit soulève des questions graves sur l’éthique et la gouvernance au sommet de l’État togolais.
Ce témoignage met en lumière une réalité dérangeante derrière les murs du pouvoir.
Que cache réellement le silence autour de Faure Gnassingbé ?
Quel est le prix du pouvoir dans une République familiale ?
À partager pour éveiller les consciences.
L’entretien propose un témoignage à charge extrêmement critique sur la vie privée et le comportement du président togolais Faure Gnassingbé, également désigné sous le nom de Ford Yassin Ben dans le récit. Il y est accusé de multiples abus de pouvoir à des fins sexuelles, mêlant des pratiques de prédation, de manipulation affective, d'exhibitionnisme et de corruption.
Un comportement sexuel compulsif et prédatoire
Le président Faure Gnassingbé est présenté comme un homme souffrant d’une obsession sexuelle, entretenant des relations intimes multiples et successives avec des femmes souvent vulnérables, jeunes, ou liées à des personnalités politiques ou militaires. Ces relations seraient marquées par :
L’usage d’argent liquide pour séduire ou corrompre.
Des tentatives de contrôle émotionnel et social sur les femmes impliquées.
Une forme d’exhibitionnisme et de domination, en imposant à ces femmes des comportements ou des tenues spécifiques.
De nombreux noms sont cités dans cet entretien, associés à des faits précis :
Marie-Laure Trainou, mannequin parisienne, aurait été repérée dans une foule et "ramenée" au Togo après avoir reçu 20 000 euros en liquide.
Carlita Amore, issue d'une famille politique togolaise, aurait eu deux filles avec le président, malgré l’opposition de la mère de Faure.
Rebecca Akahi, femme d’un homme influent, aurait quitté son époux après avoir été approchée par Faure.
Maggie Nyankale, ancienne épouse de son propre frère Ernest, aurait également eu des enfants avec lui.
Nini Sao Nyehu, fille d’un officier militaire assassiné, aurait eu trois enfants avec lui.
Sina et Sonia Lawson, deux sœurs, dont il aurait entretenu des relations successives, avec l’une supposément "partagée" avec des soldats pour des "moments de récréation", selon les termes employés.
Ingrid Awade, aujourd’hui femme d’affaires influente, est également citée dans cette série de liaisons.
Le président togolais est accusé d’utiliser :
De l’argent liquide, transporté lors de ses voyages, pour acheter le silence ou fidéliser les femmes.
Une stratégie de récompense financière pour éviter les dénonciations ou les scandales.
Même sa propre mère, selon l’intervenant, recevrait de l’argent pour garder le silence sur ses liaisons.
L’entretien mentionne des tensions importantes au sein de la famille présidentielle, notamment entre Faure et son frère Ernest. Ce dernier, opposé à la liaison entre Faure et son épouse Maggie, aurait été victime d’un empoisonnement présumé. Des morts suspectes dans l’entourage sont évoquées, avec prudence, comme potentiellement liées à ces conflits internes.
En filigrane, l’entretien dénonce un modèle de gouvernance fondé sur l’impunité, la prédation et le mépris des valeurs morales, illustré ici par le comportement attribué à Faure Gnassingbé. L’intervenant pose la question suivante : comment le continent africain peut-il prétendre au respect international si ses dirigeants eux-mêmes violent les normes les plus fondamentales de décence et d’éthique ?**
Cet entretien, aux allures de réquisitoire, dresse un portrait accablant du président togolais. Il y est accusé de multiples dérives sexuelles, d’abus d’autorité, de manipulation financière et d’un mépris profond pour la condition féminine. Ces allégations, si elles étaient vérifiées, soulèveraient de graves préoccupations quant à l’intégrité morale et politique de la gouvernance au Togo.
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